Grâce à ma grande ignorance de Van Gogh, j'ai pu voir dans un simple mur toute sa folie :
Champ de blé clos, Vincent Van Gogh
On retrouve ce fascinant pouvoir du déséquilibre dans d'autres peintures, par exemple chez Klimt :
Kandinsky aussi a fait quelques toiles où le déséquilibre introduit un mouvement, et même une étonnante sensation de chavirement...
Bref : les artistes exagèrent.
Je suis fasciné par le pouvoir d'évocation que peuvent avoir de simples lignes.